T O P I C R E V I E W |
Xavier |
Posted - 22/12/2016 : 15:51:50 267.45 KB
îles Canaries (Espagne), 16 mm. Lepromoris gibba (Brullé, 1839) |
13 L A T E S T R E P L I E S (Newest First) |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 18:34:54 Oui pour le moment je n'ai rien sous le coude car trop de choses à faire....mais je le ferai dés que je ré-attaquerai les articles. J'ai l'article de Francesco et Touroult, et j'intègrerai avec l'accord de Francesco le laïus de Svacha, soit dit en passant curieux qu'il ne l'a considère pas comme Parmenini, et si tel est le cas ce n'est pas non plus un Morimopsini. Ce qui est curieux pour toutes ces espèces polyphyletiques c'est que cela peut être adaptable à bon nombre de nos longicornes. En effet lorsque l'on regarde les Prosopocera je trouve qu'ils présentent pas mal de similitudes avec les Onciderini Ont ils un ancêtre commun ? Ou convergence ? Beaucoup de Tragocephalini présentent aussi des similitudes avec des Hemilophini (les genres Dinocephalus et Crucitragus avec les Phoebe par exemple) idem que pour les Prosop et Onciderini. Il n'y a qu'a voir aussi le genre Berningerus africain et Psapharochrus américain qui présentent de grandes similitudes aussi. Les Genres Jordanoleiopus (S.G. Polymistoleiopus) africain qui me semble être la même chose que le genre Urgleptes américain. Tous ces genres sont ils monophylétiques (un ancêtre commun) ou polyphylétiques (n'ont pas d'ancêtre commun) ?? Me concernant il m'est difficile d'y répondre voire impossible. Ou s'agit il de convergences liées à des écosystèmes ou des niches écologiques présentant des similitudes dans les différents continents ?
Le question est posé.
Oui Xavier, merci pour ta proposition de photo et data, je te tiendrai au courant le moment venu.
Bonne soirée. |
Xavier |
Posted - 12/02/2017 : 17:21:50 Ok, alors tu l'ajoutes dans ton prochain article africain. Il faudra mentionner l'article de Francesco & les remarques de Svacha; et comme je te l'ai dit, si tu veux photos et data,... |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 17:11:47 Il me faudrait l'intégrer dans un article général , mais oui ce serai à faire en effet, et effectivement il n'y a pas grand chose à dire et à sortir une biblio de "15 km" pour démontrer qu'il s'agit d'un Parmenini.
Bonne soirée
JJ |
Xavier |
Posted - 12/02/2017 : 10:45:21 Tout dépend de la nature de l'article. Il peut tenir en deux lignes : cavités moyennes fermées -> Parmenini morphologie de la larve (cf Vitali, Touroult) -> Parmenini
Ensuite, voyez-vous autre chose à ajouter ? |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 10:36:38 Oh ....on peut tous le faire ensemble ? On est trois à en avoir discuté...et comme dit plus haut en ce moment (et je ne sais combien de temps cela va durer encore....) je ne serai pas d'une grande efficacité. Mais oui ensemble cela est faisable ? |
Xavier |
Posted - 12/02/2017 : 10:34:03
Jérôme, c'est à toi de faire un papier là-dessus. mes photos & data sont à ta disposition |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 10:32:32 On est en effet bien d'accord. |
Francesco |
Posted - 12/02/2017 : 10:21:15 Tout le monde est d'accord, alors: Parmenini. |
Xavier |
Posted - 12/02/2017 : 10:16:46 66.84 KB
La patte est mal placée, mais je n'ai pas envie de ramollir la bête pour le moment. J'ai mon avis, et j'attends le tien |
Francesco |
Posted - 12/02/2017 : 10:13:40 J'ai eu la possibilité de decrire la larve de cette espèce sur des exemplaires capturés par Julien Touroult, que nous avons considérée comme appartenant aux Parmenini.
A tel propos, on a noté que:
"Selon le Dr. Petr ŠVACHA (in litt.) Lepromoris n’appartient pas aux Parmenini, ce qui est possible car cette tribu, selon la définition qu’on en donne aujourd’hui, est probablement polyphylétique. Cependant, Lepromoris possède tous les caractères des adultes de Parmena (scape robuste dépourvu de carène, cavités coxales intermédiaires fermées, tibias intermédiaires sillonés, ongles divariqués, métasternum raccourci, élytres ovoïdes). Les larves ont la même biologie que celles des Parmena africains (sur les euphorbes) et beaucoup de caractères morphologiques communs (mandibules obliquement échancrées, plaque pronotale lisse, ampoules abdominales granuleuses, anus trilobé). Par ailleurs, les deux urogomphes (épines) qui caractérisent le genre Parmena ne sont pas présents chez Lepromoris, où ils sont remplacés par deux longues soies."
L'article (Vitali & Touroult, 2006) peut être déchargé (à demande) ici. |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 09:42:33 ça me rassure alors ! Je suis un peu handicapé par toutes ma collection et fichiers qui sont en carton depuis 5 ou 6 mois et je ne fonctionne qu'à la mémoire et je peux évidemment me tromper, mais il me semble bien que j'avais évoqué ce sujet avec Vives qui était en accord avec moi et Sama qui était hésitant, tirant sur un désaccord.... Donc voila à vous de jouer. |
Xavier |
Posted - 12/02/2017 : 09:39:10 Intéressantes réflexions Jérôme... Je me pencherai à l'occasion sur les cavités de la bestiole car je m'étais fait la même remarque concernant la tribu de cette espèce ! |
Jérôme Sudre |
Posted - 12/02/2017 : 09:25:32 Très belle espèce ! Il serait intéressant de se pencher sur ce genre classé au sein des Morimopsini et qui me semble plutôt appartenir aux Parmenini... J'avais pu regardé par le passé et si mes souvenirs sont bons il me semble que les cavités coxales intermédiaires sont fermées le méatasternum est raccourci etc...! Mais comme je n'ai rien sous les yeux depuis quelques mois et bien je lance cette observation.... E Vives était, à l'époque, d'accord avec moi sur ce point en tous cas. Les Morimopsini sont absents en Europe, Afrique sahelienne et du nord, par contre largement représentés en Asie et Afrique subsaharienne. Le problème d'appartenance à la tribu des Morimopsini est aussi valable pour certaines espèces du genre Niphoparmena car il y en a qui ont les cavités coxales intermédiares ouvertes et d'autres les ont fermés.
Ce qui est curieux c'est que Lepromoris gibba ressemble assez de par son habitus au très gros genre du Cap vert : Macrospina caboverdina Mateu qui lui appartient aux Phrissomini. En tous cas il est intéressant de constater la ressemblance entre ces deux taxa. |